Encyclique
aux Fidèles du Grand Mythe Vaquettien


Ami-camarade adorateur du Grand Mythe Vaquettien,

Je vais vous faire rire (plus que pleurer, j’espère), mais c’est en jetant un œil dans le rétroviseur sur le temps colossal que je viens d’investir dans la publication des 544 pages du tome II de Du champagne, un cadavre et des putes (et ce, après les 400 du premier opus, tout en sachant que les deux ensemble ne constituent pas même la moitié du roman) que je me suis rendu encore un peu plus compte de la folie ("mot magnifique, nous dit Lawrence dans le tome II, et d’une immense richesse, qui offre un spectre sémantique qui va presque du tout au tout") pas loin d’être inhumaine qu’est l’écriture de ce roman. Je crois même que j’ai dû (je ne relis pas les Bulles précédentes pour vérifier) triompher, à un moment ou à un autre il y a quelque temps, en me disant que, ça y est!, c’est presque fini!, et ça m’a pris (un tout petit peu plus de?) dix ans, tout rond! Sauf que…, même avec la meilleure volonté du monde et en travaillant 7/7 12/24 (c’est pas un mytho, c’est ma réalité depuis plus deux mois – je suis un héros!), on sera sûrement plus près au final de… quinze ans que de dix entre le début de ce projet et la parution du dernier tome: c’est (nous dit Alice, elle aussi dans le tome II) "d’une beauté folle – ou d’une très belle folie, les deux ensemble ce serait bien" – champagne!
Le tome II est en vente – voilà pour l’essentiel. Et comme j’ai une foule de choses à vous raconter et pas suffisamment de temps à consacrer à cette nouvelle Bulle, je vais tenter de moins broder que d’habitude pour me concentrer sur le factuel.
Le tome II, ça, c’est fait, on a dit!, et vous retrouverez les infos pratiques comme toujours dans la colonne de droite: je vous fais confiance pour remplir votre e-panier à ras bord sur la page VPC, car, oui!, vous aussi, vous êtes des héros (et vous êtes merveilleux, et c’est Noël, etc.)! (Plaît-il?, vous pensiez qu’à fréquenter tous les jours depuis onze ans une hôtesse de bar à champagne, pigeonneuse experte et escorte hors de prix, devrait-elle n’être que de papier, elle ne m’aurait pas appris quelques trucs pour soutirer de l’argent aux clients par la plus vile flatterie ("la flatterie, même la plus outrancière, ça marche toujours avec les mecs" – dixit Alice, toujours elle, toujours tome II)? Comme par exemple de vous proposer (je reviens à ma colonne de droite – les anticapitalistes y verront comme un message subliminal…) des promos/soutiens façon tarif exorbitant du Vicomte (vous découvrirez d’ailleurs dans ce tome que Alice ne condescend à accompagner un client en salon privé que s’il paye au minimum le tarif Mumm, quant à Lawrence, il ne s’abaisserait pas à proposer moins bien que du Cristal Roederer – vous en faites ce que vous voulez, bien sûr, de ce message (pour le coup incontestablement) subliminal (si ce n’est relou) qu’approuve la trésorière de Du poignon productions…).)
Continuons à parler d’argent puisque j’ai mis les deux pieds (avec ou sans Dr. Martens) dans le sujet. Dans un souci de clarté, de transparence. Le tome II coûte 3 euros de plus que le I. Les frais de port qui avaient augmenté de deux euros il y a deux ans ont connu cette année la même inflation. Et j’ai ajouté une participation VOLONTAIRE de 5 euros pour les expéditions hors de France. Je vous justifie tout ça – clarté et transparence – et on n’en parle plus.
Le tome II fait 544 pages, soit plus d’un tiers de plus que le tome I. Il coûte en conséquence 20% plus cher à imprimer. Je l’ai augmenté de 15%: ça me semble raisonnable, d’autant plus raisonnable si on le compare à la totalité des romans de ce format et de cette pagination.
Le prix du timbre, quant à lui, a été multiplié par 2,5 en 20 ans! Envoyer un CD en 2006 (je n’ai pas retrouvé les tarifs avant) me coûtait (timbre éco moins de 100 grammes) 84 centimes. Envoyer le tome II (moins d’un kilo, Colissimo obligatoire à cause de l’épaisseur) me revient (sans l’enveloppe, le déplacement jusqu’au bureau, les stickers et les marque-pages, etc.) – clarté et transparence, on a dit – à 7,95 euros pour la France et 15,50 euros pour l’étranger, même pour la Belgique ou la Suisse pourtant frontalière. Pendant ce temps, Amazon expédie les livres pour un centime – je vous laisse réfléchir à ça pendant cinq minutes, dirait Vaquette sur scène…
(Cinq minutes plus tard.) C’est bon? On peut passer à la suite? Oui? ouf!
Lors de la dernière Encyclique, j’évoquais de manière sibylline "quelques obligations judiciaires chronophages qui s’annoncent pendant quinze jours d’ici peu" et vous faisais part de "l’appel du pommier" ("me remettre à l’écriture pendant les deux mois d’été, sous le soleil et sous mon pommier"). Il est temps de vous en dire un peu plus, même si je devrais vous en reparler, j’espère, plus en détail l’an prochain.
J’ai été tiré au sort pour être juré d’assises. J’ai assisté à quatre affaires pendant quinze jours dont une en tant que juré. J’ai ouvert les yeux et les oreilles, questionné l’institution, eu pas mal de colère et de dégoût, et pleuré quelques fois. L’appel du pommier a fait le reste: au lieu de terminer une bonne fois pour toutes l’écriture de mon interminable roman en quatre à six tomes comme je l’avais prévu, j’ai préféré écrire un bouquin sur cette expérience. Plus long et plus construit que Je ne suis pas Charlie (Je suis Vaquette), beaucoup moins long et beaucoup moins construit que Du champagne, un cadavre et des putes. Un truc bizarre, inclassable, singulier. Entre témoignage de journaliste infiltré, critique de la justice façon hard-core, humanisme chrétien et provo délirante made in Choron sous champis – irrécupérable. Si d’aventure un éditeur anarchiste mais généreux – bref, doublement suicidaire: ce serait hautement hypothétique qu’une telle perle rare existe, je vous l’accorde – est intéressé par ces 200 pages drolatiques, improbables, humanistes et radicales, qu’il n’hésite pas à me contacter, sinon, n’ayez crainte, je devrais m’occuper tout seul, comme un grand, comme toujours, de sa publication courant 2021. On verra (vous me connaissez, il est rare que je tienne mes délais, et je sais bien que, l’an prochain, ce serait une bonne idée aussi que je termine enfin l’écriture des aventures d’Alice et que je publie le tome III…).
J’ai mis les premières pages en ligne. À défaut de vous livrer le ton réel du bouquin (ça part en vrille par la suite: c’est pas moi, je vous le jure, monsieur le juge, c’est ma plume, elle est incorrigible – c’est elle la seule coupable!), ça vous donnera tout de même le début de commencement d’une vague idée de l’affaire que j’ai eu à juger et de ce que je raconte dans le livre. C’est ici, en PDF format liseuse/smartphone. Vous pouvez partager (a fortiori si vous fréquentez des éditeurs anarchistes – mais, n’oubliez pas!, "le mot le plus important de la phrase, c’est quand même généreux…"(encore et toujours Alice, tome II)).
Eh bien!, voilà! J’ai réussi à l’écrire mon Encyclique avec pas même une demi-journée de retard. Je vais donc à présent pouvoir, à défaut de m’offrir un break de quelques jours qui m’aurait fait le plus grand bien, fabriquer quelques CD et DVD en avance, mettre à jour les sites, pré-préparer vos dédicaces, aller chercher dans mon petit camion rouge la petite tonne de tomes II (eux aussi rouges) qui devrait sortir toute chaude, vendredi prochain, de chez l’imprimeur, et glisser, avec la célérité du guépard, la persévérance de la fourmi rouge et l’attention scrupuleuse de la mante religieuse en train de dévorer son mâle, toutes vos surabondantes commandes dans d’immenses cartons tristement marron (les enveloppes rouges ne seront jamais assez grandes pour contenir, chacune, 27 livres, 9 CD, 4 DVD, 8 tee-shirts, les stickers et les marque-pages!) à destination de Carpentras ou de Mostaganem, de Brest-Litovsk ou de Brest en Bretagne, de Paris Texas ou Île de France, de Parme ou de Bayonne, de Strasbourg ou de Francfort, du Pays basque ou du Jura des deux côtés de la frontière, que sais-je où encore?, avec un seul objectif: mes livres (rouges) sous vos sapins (verts) pour la Noël (ça devrait passer tranquille, les boules au chaud dans la hotte, finger in the reindeers!) et ainsi amasser la fortune indécente qui me permettra de payer, suite à la publication de mon pamphlet sur les assises, les amendes exorbitantes auxquelles ne manqueront pas de me condamner monsieur le juge (et sa femme en latex au Cap d’Agde) et monsieur l’avocat général (et ses spliffs de beuh dealés par le greffier avec Diam’s en guise de fond sonore (quel teasing!)), pour injure, outrage, diffamation, apologie, violation du secret du délibéré et, bien sûr, comme tout producteur qui se respecte (devrait-il ne pas même être ni parisien ni noir), rébellion lors de mon arrestation, de mon passage à tabac et de ma garde à vue. Quand je vous dis que je suis un héros!

À bientôt pour de nouvelles aventures,

Champagne!

L’IndispensablE



Tome II en vente!

Le tome II de Du champagne, un cadavre et des putes est en vente sur la page VPC. 544 pages, 23€ + 7€ de port. Envoi (dédicacé) dans l’ordre des commandes à partir du lundi 14/12

Vous êtes merveilleux! – ça fait une! C’est Noël, ça fait six!
Oui!, je tente de dénombrer les (justement) innombrables raisons pour lesquelles vous allez remplir à ras bord votre e-panier sur la page Vaquette Par Correspondance. Vous êtes merveilleux, c’est acquis et ça fait une. C’est Noël, pour vous faire des cadeaux à vous, pour faire des cadeaux qu’ils vont apprécier à tous les gens admirables qui vous entourent, pour faire des cadeaux qu’ils vont détester aux quelques-uns qui ne vous méritent pas, pour nous couvrir (Du poignon productions et moi-même) d’or, de myrrhe, d’encens et de sacs Chanel, et parce que, selon toutes probabilités, toutes les commandes, à destination de la France au minimum, devraient vous parvenir avant Noël: on en est donc bien déjà à six bonnes raisons.
Sept même!, car j’aurais dû commencer par celle dont aucun d’entre vous ne saurait douter: je ne me suis pas plus foutu de votre gueule sur ce tome II que sur le précédent et je défie quiconque d’oser affirmer qu’il n’est pas (au moins!) au niveau de ce que produit un "vrai éditeur". Graphisme extérieur et intérieur, mise en page, déclinaison des folios (les numéros de page, vous verrez…), vernis peau de pêche addictif, qualité du papier (du Lac 2000, un des plus beaux papiers de l’édition littéraire: eh oui, monsieur!), etc., franchement, l’objet est classieux et, rien que pour ça, c’est déjà un beau cadeau de Noël. Sans même parler du contenu de ce tome II, bien sûr. Car, avant de pénétrer profond l’âme et le cœur du roman à partir du tome III, vous aurez tout de même le droit ici à l’histoire de Lauranne, celle de Shéhérazade et, bien sûr, à la rencontre avec Lawrence, pour le lecteur, et surtout pour Alice: C’est beau l’amour (chapitre 6), et j’espère que ce tome vous enthousiasmera et vous donnera envie de dévorer la suite! Et de me couvrir de dithyrambes sans tarder: je compte sur vous, c’est fragile l’ego d’un auteur qui attend, fébrile et impatient, les compliments qu’il sait mériter – c’est avoué, sans la moindre once de pudeur.
Je poursuis (ma liste de bonnes raisons (vous n’avez pas perdu le fil, j’espère) pour lesquelles vous allez remplir à ras bord votre e-panier).
On vous a fait trois promos touche-la-qualité-mon-cousin! Enfin…, je dis des promos, mais c’est faire injure à votre âme altière et désintéressée: il faudrait parler plutôt de Soutien à la Cause du Vaquette – je sais que je peux compter sur vous (voir point numéro 1, je n’y reviens pas). La première (promo/soutien) me semble limpide: 1 tome II pour vous offrir à vous-même la suite des aventures d’Alice (et de Lauranne, et de Lawrence, et de Shéhérazade, on a dit) et les tomes I et II pour les faire découvrir d’un coup d’un seul à celle ou celui qui méritera une telle lecture (ou qui a des meubles à caler). Bref, trois livres pour le prix de trois – mais moins cher quand même. Et puis, pour les plus généreux d’entre vous, deux autres promos/soutiens: avouez que, nous aussi, nous sommes merveilleux.
Ah! Comme toujours, le port est identique quel que soit le montant de la commande, il se révèle donc proportionnellement moins cher – c’est rigoureusement mathématique, ça ne sert à rien de ratiociner – lorsque le montant de vos achats augmente. D’autant plus que vous arriverez très vite à ce train-là aux cent euros requis pour bénéficier de… la gratuité totale des frais de port! Si, ça, ça ne fait pas encore deux bonnes raisons supplémentaires pour m’aimer sans compter, je ne comprends plus rien à rien!
Ça ne vous suffit toujours pas? Bien, alors, voici. La "Maxi top promo Je ne suis pas Charlie / Crevez tous" est au cœur de la double actualité de l’année: le procès des attentats de Charlie Hebdo ou l’assassinat de Samuel Paty (pour le bouquin), et le Covid qui illustre on ne peut plus limpidement le contrôle social par la peur que je dissèque dans ma Conjuration du même nom (pour le CD), sans même parler des violences policières et des énièmes projets de loi pour renforcer encore et encore la législation répressive qui sont au cœur de ces deux œuvres (sans guillemets, j’ai passé l’âge de la fausse modestie)…
Et les tee-shirts! Hein, les tee-shirts!, ce ne sont pas des excellentes raisons?! (Porter un tee-shirt sur la plage cet été avant d’être de nouveau confiné l’automne prochain, ça n’a pas de prix!) Sans même parler des anciens CDs et autre DVD, de l’enveloppe rouge, des marque-pages, des stickers, des dédicaces faites à la main par l’auteur en personne (même que, cette année, à titre exceptionnel, il est possible qu’Amélie Nothomb signe POUR VOUS quelques exemplaires (ou alors, j’ai, menti, c’est possible))!
Voyez! Je ne dis pas que des conneries, je ne sais même plus à combien on en est de bonnes raisons pour remplir à ras bord votre e-panier: elles sont innombrables! Et encore, je ne vous ai pas tout annoncé: rendez-vous juste en dessous pour, truffe sur le foie gras, marron sur la dinde et schmilblick sur le gloubi-boulga, un pur collector pour quelques happy few!

Liberté!

Le collector IndispensablE dans les manifs contre la loi "Sécurité globale". Masque de protection textile "Liberté!" qualité tip de chez top (homologué, ergonomique, lavable +30 fois, filtration ffp2, etc.).!QUANTITÉ HYPRA LIMITÉE! 13€ (+port).

"Que veut cette horde d'esclaves / De traîtres, de rois conjurés ? / Pour qui ces ignobles entraves / Ces fers dès longtemps préparés ? Français ! Pour nous, ah ! Quel outrage ! (…) Liberté ! Liberté chérie / Combats avec tes défenseurs ! Que tes ennemis expirants / Voient ton triomphe et notre gloire !" chantait "une grue qu'a pas d'principes / Les dents longues comme un jour sans pain / Qui dégrafait tous les gamins / Fumant leur vie dans leur casse-pipe"…
Je viens d’effacer la suite (déjà que ce qui précède, ce n’est pas terrible: je sens que je suis mal parti pour cette news), c’était sentencieux. Alors voilà, la même chose de façon plus lapidaire: perso, j’en ai ras les couilles de porter le masque, et comme je tiens tout de même à ne pas mourir de faim en étant interdit au supermarché, à partir de maintenant, je vais sortir avec mon (nouveau) masque (13 euros) Liberté! (en vente sur la page Vaquette Par Correspondance) sous-titré "La peur rend les gens sages (pas au sens de sagesse, mais d’obéissants)" (un tour de cou offert avec chaque masque, touche la qualité, mon cousin!).
Et comme j’ai l’habitude d’avoir des goûts exclusifs, de ne pas être doué pour le succès commercial et que les réactions sur les réseaux sociaux ne m’ont pas semblé débordantes d’enthousiasme, on en a fait fabriquer une quantité EXTRÊMEMENT limitée qui, à moins que ne se produise, une fois n’est pas coutume, le miracle des sous, ne sera pas réassortie par la suite. [size]Bref, ce sera le pur collector pour quelques happy few: vous êtes prévenus et je vous jure que ce n’est pas de la menterie de commercial![/size]

Sauvez des vies!

La pochade dystopique, drolatique et de bon goût (mais qui quand même dit des trucs, t’as vu!) sur le Covid que j’avais écrite pour la revue papier "Le monde est en ruines" est désormais en ligne en PDF format liseuse/smartphone.

Je vous renvoie à la précédente Encyclique pour une présentation un peu longue de ce texte. Je me contente de vous copier-coller ce passage que, quelques mois plus tard, je ne renie pas une traître seconde:
Alors voilà, je suis content de ce texte parce qu’il est très drôle, qu’il choquera(it), j’imagine, le "grand public", et que, malgré tout, il dit l’essentiel de ce que je tenais à assener sur le sujet: la dérive martiale de la société et le contrôle social qui en naît, et ce, puisque mon texte flingue tous azimuts – c’est d’ailleurs peut-être sa principale qualité qui fera grincer certain-E-s dent-E-s –, de la part d’un liberticide "de droite" qui travaille à l’avènement du mal (les méchants flics avec leur gros tonfa) tout autant que, d’un autre, "de gauche" (les gentils militants avec leur gros Code pénal), qui œuvre pour le bien – et pour… sauver des vies!
Bonne lecture (n’hésitez pas à partager)!
PS: Pendant que nous y sommes, pour ceux qui ne liraient pas la colonne de gauche (sans compter que la répétition est la base de la pédagogie…), cliquez ici pour le tout début du nouveau livre que j’ai écrit sur mon expérience de juré d’assises, toujours au format PDF liseuse/smartphone.

Des éloges en ligne!

Quelques dithyrambes (méritées) trouvées sur la toile (Revue de web)

Cette phrase trône en maîtresse sur la 4 de couv du tome II (l’arrière du bouquin), c’est vous dire à quel point elle est classieuse, et flatteuse aussi (a fortiori écrite par une dame): "L'un des plus beaux portraits de femme que j'aie lus" – rien de moins que ça !
Et puis aussi, lisez ça! Avec douze ans de retard, enfin une critique du CD Crevez tous qui lui rend justice! Avec une comparaison à Léo Ferré et à Frank Zappa – là encore, classieux et flatteur, et, là encore aussi, un extrait de cette chronique se retrouve sur la 4 de couv du tome II…
Et pour finir, un bonheur n'arrive jamais seul: en plus de la sortie dudit tome II, un article dans PanikMagz l'annonce. "Ces derniers temps, il est souvent question de déterminer ce qui est essentiel ou non. Je vais y répondre sans détour. La culture non, ce livre oui."
Plus anciennes et sur Sens Critique, petit florilège de chroniques du tome I:
"C'est entre Rosetta et Nymphomaniac, entre King Kong Théorie et les Misérables, entre l'autobio intimiste d'une pute et le pavé qui décrypte son époque aussi bien qu'une thèse de socio : secouez tout ça…"
"Du champagne, un cadavre et des putes fait rire, pleurer, vomir et jouir comme un film de Lars von Trier donne envie d’égorger les âmes médiocres entre deux pop-corns !"
"Une fois ouvert, je n'ai pas pu m'arrêter, pour la première fois de ma vie, j'ai lu un livre en seulement deux jours. D'autres parleront de ce chef-d'œuvre bien mieux que moi, faites-vous simplement plaisir: lisez-le."
"Lire l'histoire d'Alice en sachant qu'elle finit plus tard assassinée donne un parfum tragique à l'ensemble, comme un compte à rebours macabre. D'autant plus macabre qu'on sent une immense envie de liberté de sa part."
"Vaquette montre la colère, la rage, la frustration, le désenchantement, le dégoût. Il nous fait entendre le son de la révolte contre toutes les saloperies, toutes les cruelles mesquineries que les forts font subir aux faibles."
Et pour finir, ce tweet, comment on a dit déjà?, ah oui!, classieux et flatteur: "Deux recommandations de romans pour 2020 : Les Furtifs d'Alain Damasio et Du champagne, un cadavre et des putes de T-E VAQUETTE. Deux approches distinctes mais complémentaires pour penser les tendances liberticides de notre époque."
Champagne!




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