Encyclique
aux Fidèles du Grand Mythe Vaquettien


Ami-camarade adorateur du Grand Mythe Vaquettien,

Cette Bulle numéro 49 sera remarquablement brève. Je sais, je vous promets ça presque à chaque fois et au bout du compte mon Encyclique se révèle interminable. Mais là, non, promis, je vais essayer d’être particulièrement sérieux et conséquemment réellement concis. De toute façon, mise à part l’annonce de la mise en ligne des vidéos promises dans la Bulle précédente (et éventuellement la publication d’un article consacré à votre IdolE sur le site du Monde), je n’ai pas grand-chose à vous raconter (voir la colonne de droite).
La rédaction des "fiches" préalables à l’écriture de mon roman se poursuit, ça avance bien mais pas de façon suffisamment notable pour que je puisse vous annoncer le passage à une nouvelle étape, quant à ce que j’y raconte, je brûle de vous le narrer mais ça vous gâcherait la découverte du polar le temps venu : une fois encore, j’écris actuellement ce qui s’est réellement passé dans la vie de mes personnages quand vous n’aurez accès qu’aux informations dont dispose l’enquêteur, pas dit que les deux réalités soient identiques, c’est évidemment le principe du polar et ceux qui ont lu mes précédentes Encycliques, la Bulle 47 en particulier, ont plus ou moins appréhendé l’essentiel de cette problématique de construction, je n’y reviens donc pas. Juste, sachez que je suis à présent en plein dans le cœur du sujet, notre héroïne ayant pénétré le monde merveilleux du bar à champagne où elle vient de rencontrer Lawrence Turner, l’homme de sa vie… à moins bien sûr que ce ne soit qu’un manipulateur cynique et l’agent de sa mort : une fois encore, je ne vous en dis pas plus.
Ah si ! J’ai tout de même une chose plus (?) ou moins (plus probablement…) importante à vous annoncer : j’ai désormais une adresse Twitter, @TEVaquette. Je ne sais pas bien encore ce que je vais en faire, la laisser en friche, m’en servir comme d’une Encyclique en version pratique, concise, légère et rapide lorsque je n’aurai à vous communiquer que des infos brèves et anecdotiques (ce serait l’utilisation idéale, je ne vous le cache pas, mais une Twitteuse (à qui je n’ai pas répondu pour des raisons que je vais expliquer dès à présent mais que je salue ici) m’a fait peur en me présentant l’outil comme un objet interactif destiné à chatter avec chacun de vous moi qui ne trouve déjà pas le temps de répondre à mes mails : par pitié ! que ça ne devienne pas ça !) ou réellement me prendre au jeu et vous envoyer régulièrement des liens édifiants trouvés sur le web et des nouvelles plus régulières de l’avancement de mon travail et pourquoi pas plus généralement de ma vie – yo no se comme a dit Che Guevara à l’instant où on lui demandait si Vaquette était réellement d’extrême gauche. Disons que ça dépendra en partie du nombre d’abonnés à mon compte, je laisse donc les twitteurs et les twitteuses parmi vous s’inscrire, ou non, à mon profil, et nous découvrirons ensemble ce qu’il adviendra à terme de ce merveilleux outil entre mes mains IndispensablEs : @TEVaquette – je sais, je l’ai déjà dit, mais la répétition est la base de la pédagogie.

À bientôt pour de nouvelles aventures,

Crevez tous,

L’IndispensablE

PS : Vous avez vu ? J’ai pondu, comme promis en incipit, une Encyclique réellement brève : je suis prêt pour Twitter (@TEVaquette – comment ça je suis relou ?)…



Deux nouveaux extraits vidéos de Crevez tous en ligne

Comme promis lors de la Bulle précédente, deux nouveaux extraits vidéos du dernier spectacle de l’IndispensablE ont été mis en ligne, le premier, il y a un mois, passablement profond (pour ne pas dire lourd voire chiant) et assurément politique (pour ne pas dire engagé voire militant) et le second aujourd’hui même, infiniment plus léger, à l’occasion du premier tour de l’élection présidentielle afin de donner du cœur à ceux qui iront voter…

Pour ceux qui seraient passés au travers, j’ai mis en ligne un deuxième extrait de mon dernier spectacle il y a tout juste un mois, le 22 mars précisément. Il s’agit probablement de la partie dudit spectacle la plus, disons, allez !, aride, on va rester poli. Dix ans de lois sécuritaires en détails (le spectacle ayant été écrit en 2008, il manque des joyeusetés postérieures, Loppsi II en particulier) défilent pendant dix minutes sur l’écran pendant qu’est proposé au spectateur un "digest" d’une émission de Pierre Rancé sur Europe 1 qui s’appelait (au passé car malheureusement elle n’existe plus) "Paroles d’accusés" et qui raconte une édifiante et malheureusement très et surtout trop banale histoire d’incarcération "préventive" abusive : charge au spectateur de – peut-être – faire un lien de causalité entre les deux… Par delà, je propose à chacun une réflexion sur la place de la liberté et de la responsabilité dans notre système judiciaire et plus généralement dans notre société.
Et puis, infiniment plus léger et drolatique, aujourd’hui même, pour fêter dignement le premier tour des élections présidentielles et donner du coeur à ceux qui iront voter, j’ai mis en ligne un troisième extrait qui, d’ailleurs, n’est pas directement tiré du dernier spectacle mais d’un des rappels qui l’ont suivi. Il s’agit d’une reprise des Wampas (d’où l’illustration sur cette page de notre ami Didier tout en rouge en mon honneur (ou plus sûrement à l’occasion de la Fête de l’Humanité)), la "Liste de droite", dans une version pour le moins personnelle du Prince du Bon Goût – je vous laisse savourer.

Vaquette dans le Monde

Un article consacré à l’IndispensablE sur LeMonde.fr sobrement intitulé "Le sécuritaire, ce n’est pas la sécurité" avec des liens vers les extraits de mon dernier spectacle ainsi que le débat vs le "djeun’s" de l’UMP déjà évoqué dans la Bulle 47 de novembre dernier

Vaquette a un côté punk (mais sans chien, ni Valstar). Vaquette a aussi un côté "aristo", mais "déviant", du genre à aimer passer pour un anar de droite (voire d'extrême-droite) auprès des bien-pensants "politiquement corrects" (de gauche), afin de mieux faire comprendre tout le mal qu'il pense de la bien-pensance (de droite).
C’est classieux comme portrait, non ? Et puis, le Monde, et mieux même, le blog du Monde consacré aux problématiques de contrôle social en pleine période de remise en question consensuelle du sarkozysme, on fait pire comme promo (sans compter les plus de 500 partages sur les réseaux sociaux en quelques jours, il n’y a pas à dire, la puissance des médias traditionnels reste intacte), non ?
Et puis, après avoir été estampillé "artiste de qualité certifié par le monsieur intelligent de la télé" (Taddeï pour ceux qui ne l’auraient pas reconnu), un papier enthousiaste dans le Monde, si ce n’est pas une validation culturelle, ça… Ouf !, qu’on se le dise, le temps où le Prince du Bon Goût chantait Mort aux Juifs est révolu, sa période trash est un lointain souvenir, le ghetto underground où il croupissait depuis bien trop longtemps n’est plus qu’histoire ancienne : Vaquette est à présent fréquentable !
Tenez, c’est bien simple, dès lundi, je vais guetter mon courrier dans l’attente d’un chèque de subvention, d’un contrat chez Grasset pour mon prochain roman et d’une tournée nationale dans les festivals pétés de thunes : comme Orelsan dans son dernier opus, j’entends le chant des sirènes, t’inquiète pas, seuls les faibles se font bouffer par le système – rire.




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