Encyclique
aux Fidèles du Grand Mythe Vaquettien


Ami-camarade adorateur du Grand Mythe Vaquettien,

Copié-collé, Encyclique aux Fidèles du Grand Mythe Vaquettien, Bulle 24 :
Je suis parjure. C’est mal. Très mal. Je vous avais promis une retraite trappiste tant que mon "Crevez tous" ne serait pas achevé et ne voilà-t-il pas que je m’en échappe à peine la porte close, et ce pour la plus vile des raisons : passer à la télé – beurk ! (sans compter que, Noël approchant à grands pas, je vais bien trouver le moyen de vous faire un peu de retape d’ici là pour ma page VPC, indigence de l’underground oblige – vous êtes prévenus).
Vous étiez donc prévenus, et, à bien y regarder (car l'IndispensablE se doit d’être instructif en plus que distrayant), nous sommes au coeur d’une vache qui rit (une mise en abîme pour les quelques-uns d’entre vous qui ont fait des études) puisque, alors, tout en vous annonçant que j’étais parjure (car je quittais ma retraite pour vous écrire une Encyclique), je vous apportais par avance la preuve que je ne le suis pas (puisque je vous prévenais dès cet instant que j’allais de nouveau l’être pour la VPC de Noël, fait qui est présentement avéré dans cette nouvelle Bulle qui contient la précédente) : vous me suivez ? Ben… Euh… Putain Vaquette, prise de tête, c’est trop compliqué ton truc ! (D’autant qu’à bien y regarder, est-ce véritablement une mise en abîme ?... Ne serait-ce pas plutôt un paradoxe ?… Ou alors, une mise en abîme paradoxale ?... Oui, c’est cela, une mise en abîme paradoxale, dirons-nous.)
Et bien soit, je serai donc plus simple après cet incipit un rien sibyllin : c’est Noël ! Voilà pour l’accessoire qui est développé à l’envi dans la colonne de droite (enfin, si on regarde l’écran, car si on lui tourne le dos, on ne voit plus rien du tout – Hein ?! Je sens que ça va être encore plus imbitable que d’habitude ton truc, Vaquette : attends, je vais chercher de l’aspirine et je reviens… Oups ! désolé, j’ai effacé ton Encyclique par mégarde en me levant…) : une Top promo pour la Noël, une page VPC toute nouvelle toute belle avec un accès direct au bon de commande PDF pour les commandes par chèque et la possibilité, comme sur les vrais sites de vente en ligne, de cliquer sur des petits Caddies et de payer par carte bancaire, Vaquette, splendide, qui responsabilise son MerveilleuX public et en appelle au mécénat (ou bien, au choix, Vaquette, pathétique, qui en est réduit à faire la manche en ligne pour karna les deux trois abonnés à son Encyclique), mais aussi le CD "L’IndispensablE" qui fait peau neuve et, pour finir, mon non passage sur France 3 (voir Bulles 24 à 26) qui trouve une conclusion définitive sous forme d’une interview à paraître dès janvier dans un livre sur la censure à la télévision. (Ah ! (Ajout) pour les quelques-uns qui reprochent à cette Encyclique son ton excessivement badin et qui préféreraient y trouver des propos plus profonds, "la parole du maître" pour reprendre les termes d’un mail reçu il y a longtemps, n’hésitez pas à lire cette interview ainsi que le texte de la page "mécénat" : de cela aussi vous êtes prévenus.)
L’accessoire, tout cela ? Oui ! car l’essentiel (comme la Vérité, agent Scully) est ailleurs, dans l’écriture de mon "Crevez tous" bien sûr.
Digression
C’est fascinant, ou terrorisant, là encore je vous laisse choisir : je n’ai pas la télé (ce n’est pas une pose un rien snob, c’est une réalité tout ce qu’il y a de plus vraie depuis des années) et je trouve encore le moyen de vous faire des saillies drolatiques sur des séries que je n’ai jamais vues (ou bien j’ai oublié, ou elles sentaient pas bon). Comme quoi, le pouvoir de pénétration de la lucarne magique est définitivement fascinant, ou terrorisant avons-nous dit.
Fin de la digression.
L’essentiel, mon "Crevez tous" donc. Et bien ouf ! rhaaa ! yes ! ça se passe bien. Je ne triomphe pas déjà car je sais le chemin très long encore, mais disons que je suis rassuré. Car j’ai douté, si vous saviez, douté de tout, à commencer de moi (si ! c’est possible !), et puis, l’ouvrage posé sur le métier, "ça" revient peu à peu. Par "ça", j’entends le sentiment que je vais pouvoir y arriver de nouveau, l’enthousiasme aussi quelquefois, des certitudes même, celle par exemple qu’il y a un certain nombre de choses que "je dois dire" et que je possède tout en moi pour pouvoir les écrire comme personne ne l’a fait avant moi : ça y est, réjouis-toi ami-camarade adorateur du Grand Mythe Vaquettien, l'IndispensablE est remonté dans sa Jeep et, quelques grenades et un pistolet-mitrailleur sur le siège passager, il a repris le chemin des bunkers – ouf ! les méchants peuvent de nouveau trembler.
Mais je m’emballe, je m’emballe, car je n’ai rien écrit encore, à peine terminé-je la phase d’apprentissage technique, mais tout de même avec quelques réussites et pas mal d’avance sur le planning que je m’étais fixé (oui, parce que c’est décidé, je vais vous faire du hip-hop, pour de vrai, vous êtes prévenus, et je travaille mon flow, mes "loops un peu loupées" et ma maîtrise des machines – yo !). J’en suis à l’instant critique, terriblement angoissant mais, je le répète, d’une angoisse qui pourrait, qui devrait ?, redonner naissance bientôt à un enthousiasme que j’ai depuis un moment perdu (mais rassurez-vous, je me connais, si tout se passe comme je l’espère, dans trois mois je serai infréquentable sauf à m’injecter en intraveineuse sublinguale des calmants dosés pour la chasse au pachyderme en Tanzanie australe, sautant comme Donkey Kong sur des instrus en 7/4 et hurlant à la cantonade "Dans ton cul, j’te les mets dans ton cul mes lyrics, bâtard, bâtard ! BÂTARD !" – soyez certains que du moins je les espère ces instants, mieux, que j’attends leur retour avec une impatience démesurée, graissant chaque jour ma batte à clous depuis trop longtemps rangée au placard), oui donc (diable que je suis digressif, mais je n’apprends rien à personne, j’imagine), j’en suis à l’instant terriblement angoissant où je vais très bientôt commencer à ordonner le (peut-être même les) millier(s) de pages de notes (même si ce travail d’ordonnancement a déjà grandement débuté dans ma tête) pour en faire des chansons, enfin, des truc avec des mots et de la musique, et puis j’espère aussi de l’intelligence, de la radicalité et de l’ambition.
Pratiquement, au jour d’aujourd’hui, je maudis le P2P de m’empêcher de vous faire une page "Work in progress" dont j’aurais terriblement envie pour vous montrer comme je travaille bien (laissez, c’est mon côté frimeur comme une voiture de pompier). Oui, j’aimerais vraiment beaucoup vous faire écouter mon "cover" de Joey Starr, quelques-unes de mes boucles finalement pas si loupées que ça ou mon "Léon, le gosse, la pute et le camion" (Mon camion c’est un Benz, j’vais t’péter l’cul d’dans la pute comme dans un hip-hop bien ring’ (…) T’aurais eu l’choix t’aurais même préféré niquer avec le Prince Albert / Ou sucer pas lavé un vendeur du Réverbère…), mais je crains que cela ne se retrouve très vite sur le réseau et qu’un visiteur de passage ne télécharge ce qui n’est rien d’autre que des travaux pratiques à seule fin "d’apprendre le métier" en imaginant qu’il s’agit là de la réalité, de la finalité de mon travail – tant pis pour vous, pleurez ! (Bon d’accord, je n’ai pas pu résister, mais ne le diffusez sous aucun prétexte !)

Voilà, ami-camarade adorateur du Grand Mythe Vaquettien, tout est dit (car je babille, je babille volubile au lieu d’œuvrer à ma gloire : il suffit, je romps là et retourne à mes machines à l’instant),

À bientôt pour de nouvelles aventures,

Crevez tous – enfin, bientôt, j'y travaille.

L’IndispensablE



C’est Noël !

Top promo : frais de port offerts à partir de 21 € d’achats

Pour pasticher Philippe Jaenada : si tu dois n’acheter qu’un seul cadeau pour cette Noël 2006, si tu hésites par exemple entre un chapeau, un des merveilleux objets de culte du Grand Mythe Vaquettien et un grille-pain, choisis sans hésiter l’un des merveilleux objets de culte du Grand Mythe Vaquettien. Mais pourquoi un seul après tout, je te le demande ? alors que le DVD, les CDs, le roman, les t-shirts ou même les affiches feront la joie des petits comme des grands, des gens que tu aimes et qui conséquemment apprécieront comme de ceux que tu détestes et qui détesteront à l’égal, de ceux à qui tu rêvais d’offrir du Vaquette afin de les élever plus encore vers le Grand et le Beau comme à tous les autres à qui tu ne savais quoi acheter, bref, au lieu d’errer l’âme en peine quelques jours avant Noël dans les rayons de la Fnac à la recherche de cadeaux que le marketing aura choisi pour toi, n’hésite plus un instant et rends-toi sans vomir (oui ! ça faisait un moment que je ne vous l’avais pas faite celle-là et elle me manquait) sur rue-du-vaquette.com et achète à tous les merveilleux objets de culte du Prince du Bon Goût, et puis, dis-toi que si ça ne plaît à personne, au moins ça ne fera pas de jaloux.
(Et puis tiens, pendant que nous y sommes – appelons ça un ajout ou une digression –, sache que l'IndispensablE étant définitivement MerveilleuX, il a pour habitude de dédicacer les beaux objets qu'il vous envoie. Au cas où tu ne souhaiterais pas une telle dédicace, ou bien que tu la souhaiterais à un autre nom que le tien, n’hésite pas à le signaler au Prince du Bon Goût qui, certain que le client est roi, exaucera avec grâce ta requête – ah ! et puis, un bon conseil : joins donc quelques mots à ta commande afin que la créativité débordante de ton IdolE y trouve matière à un griffonnage autre qu’indifférent – voilà, tu es prévenu.)
Top promo : Pour toute commande de plus de 20 € reçue avant le 31 décembre 2006, les frais de port sont offerts ! Attention : cette offre est valable exclusivement en cas de paiement par chèque (désolé, mais la merveilleuse plateforme de paiement CB calcule automatiquement les frais de port et je n’y peux mais… : ou alors il faut faire son calcul tout seul, passer par la page "mécénat" et s’arranger en direct avec M. et Mme Poignon : ça devrait être aisément gérable pour les plus aguerris d’entre vous aux rouages technico-commerciaux de notre époque où l’adaptabilité, paraît-il, règne en reine).

Chouf le Caddie !

Nouveau : paiement CB sur la page VPC

C’est nouveau, c’est beau, c’est chaud, mieux, c’est IndispensablE et ton IdolE l’a fait : la page VPC du Prince du Bon Goût te permet désormais de pénétrer plus profond encore le monde merveilleux du e-commerce avec nulle autre arme que ta carte bancaire ou un compte Paypal. Pour ajouter un article à ta commande, clique sur les petits Caddies "Fais péter le produit !", et, bien sûr, pour visualiser ladite commande, il te suffit de cliquer sur le grand "Chouf ton Caddie !" : oui, oui, tout pareil que sur un vrai site même pas underground. Évidemment bien sûr, le paiement en ligne est absolument sécurisé via une plateforme indépendante de "Du Poignon Productions" offrant toutes les garanties de sérieux nécessaires.
(Ah ! Un bon conseil : n’oublie pas de remplir explicitement le champ "objet" dans ta commande ou notre filtre magique risque de condamner ton mail à errer à jamais dans l'immense poubelle de la toile.)
(Et puis, si la folle épopée technologique de l’Homme lancée tel un défi au progrès te laisse définitivement démuni(e), imprime donc le bon de commande PDF que M. et Mme Poignon n’ont finalement réalisé que pour toi, et effectue ton paiement "old school", j’entends par chèque.)

Vaquette fait la manche

Fais un don à l'IndispensablE : oui ! c’est désormais possible en un clic (et également par chèque bien sûr) sur la page "mécénat" du site de ton IdolE

Putain ! J’y crois pas ! L'IndispensablE en personne, le Vicomte de Gribeauval, le Prince du Bon Goût, le dandy punk roi de la Nuit parisienne (bon d’accord, là, j’ai menti), toi dont l’orgueil altier n’est jamais tombé moins haut que la plus haute des cimes, tu en es réduit à mendier comme le dernier des crevards squatteux ou des peintres underground du 9-4 (laissez, je me comprends) ?! Franchement Vaquette, c’est pathétique.
Effectivement, c’est pathétique, et je dois vous confesser que j’ai longuement hésité avant de mettre en ligne cette page tant je craignais l’incompréhension et les remarques cauteleuses de certains d’entre vous, mon MerveilleuX public, mon amour. Et puis, plus j’avançais dans ma réflexion, plus m’est apparu comme une évidence qu’il ne s’agissait là que d’une étape supplémentaire dans la droite ligne de l’autoproduction "sérieuse" (j’entends celle qui n’a rien à voir avec un quelconque "Yo ! Trop cool ! On vient jouer chez toi si tu nous payes la bière !" ou "Allez ! Prends mon skeud, il est trop bien, s’te plaît, j’te l’donne !") ou de l’entrée en libre responsabilisation que je pratique depuis de nombreuses années (ou également, par exemple, de la création de "Un printemps bizarre"). Je vais tenter ici, non pas de me justifier, non pas de vous convaincre, mais simplement de vous expliquer ma démarche, disons par un souci de cohérence intellectuelle à laquelle je suis particulièrement attaché.
La suite du texte est à lire
ici : puisse Cauteleux Ier intimer l’ordre à ses sujets de m’éviter l’envoi en nombre de mails sur l’air du "Vaquette : racket" – d’avance merci.

De plus en plus beau !

Le CD "L’IndispensablE" possède désormais un nouveau graphisme infiniment plus seyant

C’est nouveau, c’est beau, c’est chaud (Euh… Vaquette, je sens que tu ne vas pas te fouler pour cette actu, je me trompe ? – Non, tu ne te trompes guère ami-camarade de plein d’intuition, mais je dois t’avouer qu’il est bien tard à l’heure à laquelle j’écris ces lignes : je suis pardonné ?), le CD "L’IndispensablE" est désormais magnifique avec ses pratiquement 50 photos du Prince du Bon Goût qui composent son nouveau visuel : Oh ! ah ! uh ! t’écries-tu pénétré par tant de grâce, et tu as bien raison car il est vraiment beau.
C’est donc une bonne occasion de te le procurer si tu ne le possèdes pas encore, voire même, pour les adorateurs du Grand Mythe Vaquettien les plus compulsifs, de l’acheter une seconde fois pour rendre exhaustive ta collection qui, n’en doutons pas (c’est un ordre), vaudra terriblement chère un jour (je parle pour dans dix siècles, et je prends date – ou alors il n’y a plus rien, et ce rien, je vous le laisse).
Ah ! Juste une ultime remarque, mais elle est d’importance : il nous reste quelques exemplaires de l’ancien modèle, précise donc avec véhémence ou pour le moins précision à M. et Mme Poignon lors de ta commande que tu désires impérativement recevoir le nouveau modèle et non pas par mégarde l’ancien.

Censure et télé

En avant-première, une interview de l'IndispensablE pour un livre de Frédéric Vignale, "Les Censurés de la télé", à paraître en janvier

C’est merveilleux la vie, non ? J’avais depuis un moment tourné la page de ma dernière désillusion dans le combat entre le monde et moi (je parle bien sûr de "l’annulation" de dernière minute de mon passage dans l’émission de Frédéric Taddéï sur France 3 – voir mes Bulles 24 à 26) pour me re-concentrer sur l’essentiel, mon "Crevez tous" prochain, lorsque j’ai été contacté par Frédéric Vignale qui, ayant eu vent de ladite désillusion – le monde est définitivement minuscule, ou alors je suis une reusta –, m’a interviewé par mail sur le sujet de son prochain livre à paraître en janvier : "Les Censurés de la télé." Qu’il fasse bon usage de mes propos, quant à moi, ça me permet de clore définitivement cette "affaire".
Au risque de déplaire à son éditeur, je vous livre en avant-première, ici pour être précis , mes réponses à ses questions. Comme souvent avec ton IdolE, cela est plus prétexte à des textes "théoriques" sur le sujet (je pense notamment à la quatrième question) que basiquement les réponses attendues à une interview : je vous en laisse juge.




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en exigeant d'être sevré d'actualité vaquettienne, puis pleure.

De même, ami-camarade fan, pour modifier ton adresse, corriger d'éventuels doublons, ou inscrire tes petits camarades, envoie un courriel à M. et Mme Poignon.